Mercredi 18 février 3 18 /02 /Fév 19:10

Marché 018

Acteurs: Maitre X, Maitre Y, Maitresse Sophia, soumise Séverine.

 

Nous sommes dans le bordel de luxe de Madame Sophia. Celle- ci emploie, de 5 à 7, de jolies femelles bourgeoise en mal de fantasmes dont elle fait profiter ses meilleurs clients. Aujourd'hui est un jour particulier: C'est la première fois que Séverine Sérizy sera présentée à un client du bordel, Maitre X, dont les gouts pour le bdsm sont bien connus de l'entremetteuse; Et comme ce jour est particulier, un autre client, Maitre Y, juriste bien connu également, à été invité à suivre la séance de "présentation" dissimulé dans le réduit d'une alcôve secrète, pourvoue d'une glace sans tain qui lui permet de tout voir sans être visible lui-même.

 

1 En parlant de choses et d'autres...

 

Elle présente d'ailleurs sa main gantée au notaire qui lui baise cérémonieusement, tandis que la maquerelle donne l'identité de la jeune femme et invite à s'asseoi; Maitre X demande Madame Sophia à leur servir à boire et de préciser ensuite à Séverine comment il aime qu'on se tienne assise devant lui quand on prends le thé.

Séverine est priée d'enlever ses gants, de les présenter au notaire, puis d'écarter les jambes et de relever ses jupes au-dessus du genou.

 

Maitre X Félicite alors Madame Sophia pour son goût: comment a-t-elle fait pour trouver une jeune femme aussi délicieuse? Madame Sophia raconte que la jeune femme s'est présentée d'elle-même, et que pour échapper à un monde pas trop ennuyeux, a proposé ses services, mais seulement en journée.

-Voila une jeune dame bien audacieuse, remarque Maitre X. Sait elle que si nous aimons parler de littérature en cet endroit, c'est surtout de littérature érotique qu'il s'agit. Et que nous aimonsexplorer avec un réalisme consommé ce que les livres coquins nous racontent?

Madame Sophia répond affirmativement, et demande à Séverine de s'exprimer:

-Ici, on ne refuse rien aux messieurs, n'est ce pas Séverine?

-Absolument rien, précise le notaire. Etes vous dans ces dispositions?

-Oui Monsieur répond la jeune femme.

 

-Très bien reprend Maitre X. Alors débarrassons cette jeune femme de sa tasse de thé... et aussi de quelques vetements. Je désire voir ses épaules...

 

Madame Sophia va ainsi dévétir progressivement Séverine sur les demandes du notaire, en lui vantant la beauté de chaque endroit dénudé. Enthousiaste, le notaire tient à vérifier par le toucher chaque détail; Après les épaules, la nuque, le visage, ce seront les bras, les seins, le ventre, les jambes, les cuisses. Jusqu'a ce que la belle de jour se retrouve en sous-vêtement.

 

2 En parlant de choses plus précises...

 

-Chère enfant, lui dit à ce moment le notaire, j'aime que les femelles qui me sont présentée soient plus dociles, qu'elles se soumettent entièrement à mes caprices. Surtout quand ce sont des bourgeoises comme vous, habituées à se faire servir et à parler dans les boudoirs avec leur petit chien d'apparat.

Il durcit le ton.

-Icic'estvous qui allez servir et qui ferez la chienne.

Il lui intime l'ordre de se mettre debout, d'écarter les cuisses et de présenter ses poignets. Madame Sophia lui met menottes et collier, lui bande les yeux tandis que le Notaire tourne autour de la jeune femme en tourmentant son intimité.

-A genoux!!

 

Il attache une chaine à son collier, la promène muni d'une cravache comme un animal dans un pièce, lui fait lever la patte dans un coin, la fait aboyer. Puis il la fait mettre sur ses genoux ainsi que sur les genoux de Maitresse Sophia et tous deux la fessent xopieusement, fessées qu'alternent des attouchements de plus en plus précis de facon a ce que la jeune femme perde la notion du temps et de l'espace. Il lui est aussi demandé de lecher ses maitres. Enfin, on la deshabille completement et on la ramène dans un coin ou elle est attachée et priée de ne plus bouger.

Pendant ce temps, on apprête la table de massage sous le trapèze.

 

3 En ne parlant plus qu'avec le corps...

 

La belle de jour est assise sur la table de massage et attachée au trapèze qui se trouve au-dessus d'elle. La voila palpée, caressée, doigtée par Madame Sophia et le notaire. Puis détachée, et couchée de tout son long sur le dos, la voila poussée vers l'orgasme, arquant son corps à chaque soubressaut de plaisir, jusqu'à la jouissance suprème.

Au moment ou elle croit pouvoir recuperer, elle est emmenée de force et à genoux dans l'alcôve où e, sous les coups de fouets plus érotiques que douloureux, elle est forcée par Madame Sophia de faire une fellation au juriste, très excité par ce qu'il vient de voir et trop heureux de gouter à la bouche de la belle bourgeoise.

Par Maîtresse Sophia de Liege - Publié dans : Général
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