Dimanche 13 février 7 13 /02 /Fév 22:21

  Theo 50

Ce premier mercredi du mois de février, un nouveau rendez-vous avec Maitresse était enfin planifié.
Enfin est dans doute le mot qui convient le mieux si on tient compte de ces trop longues semaines où aucune séance de dressage ne fut mise en place…. Et ce, pour diverses raisons …. emploi du temps trop chargé, fêtes de fin d’année, forme non optimale de Maitresse, etc …
 
Bref, comme toujours dans ce cas, un grand manque m’étreint et je sens en moi bouillir ce désir de me retrouver devant Maitresse. Celle-ci manifeste aussi sa réprobation devant ce laps de temps trop long, chose qui me remplit de joie. Ma Maîtresse tient donc à moi !
Il est vrai que je suis toujours fébrile devant une nouvelle rencontre. Aussi toujours désireux de faire au mieux…. : pour moi, il est primordial de donner satisfaction à Maîtresse et d’aller plus loin sur le chemin de l’obéissance et du dressage.  Pour moi, cela signifie aussi d’aller d’avantage en avant sur le chemin de la résistance devant différents tourments. Je ne sais que trop bien qu’à cet égard un bon nombre de paramètres entre en ligne de compte : forme physique, forme mentale, état d’esprit, ressenti, application, aptitude de faire le vide, etc…. Souvent immaîtrisables, ces différents éléments ne se révèlent qu’au moment même où ils sont exacerbés. Le désir de bien faire n’est pas suffisant.
Je ne désire pas décevoir ma Maîtresse et je veux lui montrer que j’ai fait une avancée  dans cet art qu’est la soumission. Aussi un pas dans l’acceptation de la souffrance et des punitions.
 
Mais ce mercredi est quelque peu particulier. En effet, je ne serai pas seul car ma Maîtresse sera accompagnée de sa soumise que nous allons appeler Soumise I.
 
Une fois dans la pièce où Maîtresse me reçoit habituellement, je suis placé à genou avec un loup qui me masque les yeux. Ma queue de chien est comme d’habitude en semi-érection et  laisse échapper sans cesse une substance venant de l’excitation. Maîtresse me présente soumise I. que je ne peux donc apercevoir. Maîtresse lui demande de me soumettre une liste de questions sur ma situation …. : une sorte de questionnaire traitant de divers aspects de ma personnalité et de ma vie privée.
 
Le loup m’est enlevé et je peux apercevoir soumise I. Elle est jeune, plutôt jolie. Je décèle immédiatement une croupe attirante et prononcée de matière idéale ainsi qu’une poitrine opulente sans tomber dans l’excès. Se révèlera aussi une certaine impertinence qui exacerbe aussi l’excitation du chien que je suis.
Mais très vite, je dois revêtir la traditionnelle cagoule de soumis et je suis attaché au mur là où se trouve cet ustensile sur lequel mon sexe est posé et qui coince mes testicules.
Je suis bien immobilisé et complètement à la merci de ma Maîtresse.
S’en suit toute une série de tourments : la cravache et la lanière de cuir sur mes fesses sont toujours pour moi la pierre angulaire des sévices : c’est surtout à ce niveau que je désire faire abstraction de la souffrance et de pousser plus en avant l’acceptation de la douleur.
 
Couché  et attaché sur le banc de ma Maîtresse, mon sexe et mon cul subissent les épreuves que ma condition d’esclave appelle : étirement du sexe, des testicules et supplices connexes ainsi que le gingembre brulant dans l’anus.
L’épreuve me semble interminable mais je ne dis mot et je mors sur mes lèvres pour supporter sans rien montrer cette épreuve que m’inflige de manière raisonnée ma Maîtresse.
 
S’en suivent aussi fouet et lanières sur mes fesses : Soumise I est tantôt agenouillée à côté de moi pour recevoir d’égale quantité de coups tantôt posée au dessus de moi pour que nos croupes se superposent. Soumise I. annonce qu’elle est vraiment sado et reçoit la lanière sans broncher alors que je dois de mon côté faire bonne figure pour supporter d’une manière supposée identique les zébrures sur mes fesses.
 
Attaché sur un banc, le sexe de soumise I est positionné juste au dessus de mon visage et il a été permis à  mon doigt de l’explorer tandis que ma divine Maîtresse munie d’un gode ceinture me sodomise de manière autoritaire. Si Maîtresse l’a décidé ainsi, je sais que c’est mérité. Je subis, heureux, ce tourment.
 
Différents sévices me soient encore octroyés. Je résiste tant bien que mal à ceux-ci  jugeant cependant que le chemin sur l’acceptation plénière de ces épreuves  de soumis est encore long.
 
Cette fin de séance approche trop rapidement. Je le sens et le redoute. Ma Maîtresse m’ordonne de me masturber devant elle et sa soumise… Je pensais qu’il me fut demander de copuler avec soumise I, voir sodomiser sa croupe attirante, choses qui m’auraient bien plu. Limer la soumise devant ma Maîtresse me semble être une apothéose grandiose à cette séance mais sans doute ne l’ai-je pas mérité. Je ne tiens guère longtemps devant Maîtresse à me caresser le sexe et assez rapidement, mon jus d’esclave s’éjecte en de longs jets jouissifs. Maîtresse ne semble pas très contente devant ce laisser-aller trop rapide mais semble faire l’impasse sur une punition supplémentaire. La séance se termine ainsi.
Mi figue mi raison dans mon chef…. J’espère faire mieux la prochaine fois, me dépasser et apporter d’avantage de satisfaction à ma Maîtresse.
Votre chien Théo
Par Maîtresse Sophia de Liege - Publié dans : Compte-rendus
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